Le yaourt nature
Savez-vous que si rien d’autre n’est précisé sur l’étiquette, il est toujours au lait demi-écrémé ? Sinon, il se décline en yaourt maigre ou à 0% (c’est-à-dire au lait écrémé), et en yaourt au lait entier, encore plus riche en goût. Sa texture ferme est obtenue grâce à une fermentation directement en pot.
La dernière tendance ? Le voir apparaître en seau de 1 kg, pour une consommation familiale… et généreuse !
Le yaourt brassé
Plus liquide, il est souvent plus acidulé, et tout aussi riche en bienfaits que le yaourt nature. Seule sa texture est différente ! On le nomme aussi yaourt bulgare en référence aux origines supposés du yaourt et au « Lactobacillus bulgaricus », l’un des deux ferments à l’œuvre dans la transformation du lait en yaourt. Il est fabriqué en cuve avant d’être conditionné en pots.
Il est particulièrement adapté à la réalisation de boissons, comme les lassis, les cocktails de fruits…
Le yaourt à la grecque
Particulièrement épais, c’est un yaourt nature très égoutté (technique traditionnelle) ou enrichi de crème. Gourmand, très savoureux, il est indispensable à la réalisation du tsatsiki et pour tous les plats d’Europe de l’Est, et tout simplement mélangé à des fines herbes, c’est un délicieux dip d’apéritif.
A froid, il peut se substituer à la crème fraîche épaisse.
Le yaourt à boire
S’il existe nature, il est le plus souvent sucré et aromatisé, et fabriqué avec un yaourt brassé battu. Imaginé en 1974, il a permis aux adolescents de renouer avec le plaisir du lait, en dégustant le yaourt sans cuillère, à même la bouteille. Son dernier avatar ? Le « yaourt à verser », en brique de 950g, lancé tout récemment. Pratique pour les familles qui veulent associer céréales et yaourts au petit déjeuner.
Et vous, sous quelle forme préférez-vous le yaourt nature ?