Et pour cause, à cette époque, Charlène travaillait dans un boîte de fusion-acquisition.
Quoi que ! Mariée à la finance, la jeune femme avoue qu’elle entretenait déjà une relation sérieuse avec le fromage. Infatigable, Charlène occupait ses week-ends à vendre des produits-laitiers sur le marché. Un job décroché après une rencontre fortuite. L’opportunité pour elle de « travailler quelques heures avec des gens passionnés ». « J’ai rapidement réalisé que toucher des meules et des tommes, m’excitait plus que le rachat de capital. » lâche-t-elle.